Quand une nuit suffit à tout faire basculer…
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« Résilience » : L’Alchimie de Mon Chemin
Il y a des prises de conscience qui se font en douceur, par petites touches successives. Et puis, il y a celles qui frappent comme un éclair, qui fendent notre réalité en deux, qui ne laissent plus aucune place au doute.
Cette nuit-là, tout a changé.
L’éveil de la kundalini n’a pas été qu’un phénomène énergétique ou spirituel. Il a été une révélation brutale, un déchirement intérieur qui ne pouvait plus être ignoré. Ce chapitre ne parle pas seulement d’un éveil mystique, mais d’un bouleversement total de la perception de soi et du monde.
Quand le corps parle, l’âme crie déjà depuis longtemps
La plupart du temps, les signaux sont là bien avant. Une fatigue inexplicable. Une sensation d’oppression. Un mal-être qui s’installe, sournois. Mais on les ignore. On rationalise. On se persuade que ce n’est qu’un passage, qu’il suffit d’un peu de repos, d’un ajustement, d’un compromis supplémentaire.
Jusqu’au moment où le corps impose un ultimatum.
Cet éveil n’était pas une coïncidence. Ce n’était pas juste une sensation étrange au cœur d’une nuit ordinaire. C’était un message, une réponse.
La réponse aux questions qui tournaient en boucle depuis des années.
Pourquoi cette sensation d’être enfermée alors que tout semblait stable ?
Pourquoi cette fatigue constante, ce mal-être diffus, cette impression d’étouffer sans raison apparente ?
Pourquoi ce vide intérieur, malgré tous les efforts pour maintenir une vie « normale » ?
Mon corps parlait parce que mon âme criait déjà depuis trop longtemps.
Tout ce que je ne voulais pas voir, tout ce que j’avais enfoui sous des compromis et des illusions, venait de remonter à la surface.
Cet éveil était un rappel brutal : il était temps d’écouter, de comprendre, de ne plus fuir.
L’illusion brisée : pourquoi restons-nous aveugles si longtemps ?
Avant cette nuit, la relation avec Damien semblait encore tenir. Pas par amour, mais par habitude, par peur de l’inconnu, par tous ces « c’est normal » qu’on s’impose pour ne pas voir l’évidence.
Mais une fois le voile levé, impossible de le refermer.
💫 Pourquoi restons-nous parfois dans des situations qui nous enferment ?
💫 Pourquoi faut-il attendre un choc pour comprendre que l’on n’est plus à sa place ?
Parce que voir la vérité signifie souvent affronter la peur du changement.
Nous nous attachons aux histoires que nous nous racontons. Nous préférons une souffrance connue à une liberté incertaine. Nous minimisons les signes, nous trouvons des excuses, nous nous persuadons que demain sera différent.
Mais la vérité, c’est qu’une relation qui nous éteint ne se transforme pas en une relation qui nous élève.
Et cette nuit-là, tout est devenu limpide.
Savoir… et agir : le fossé entre prise de conscience et passage à l’action
Prendre conscience, c’est un premier pas. Mais ce n’est pas encore le départ.
💫 Combien de fois sait-on ce que l’on doit faire… sans oser le faire ?
💫 Combien de temps passons-nous à tergiverser, à peser le pour et le contre, à attendre « le bon moment » ?
Car quitter une situation, ce n’est pas juste partir physiquement. C’est déconstruire tout un système de croyances. C’est admettre que l’on s’est trompé. C’est affronter les réactions des autres, le jugement, l’incompréhension.
Ce n’est pas une simple décision, c’est un processus.
Et même quand la vérité s’impose avec une intensité inébranlable, il faut encore trouver la force d’affronter la tempête qui va suivre.
La prise de conscience ne met pas immédiatement fin à la relation. Mais elle marque un point de non-retour.
À partir de là, le décompte est lancé.
Et la bataille ne fait que commencer.
L’éveil brutal : quand il n’y a plus de retour en arrière
L’un des moments les plus marquants de ce chapitre est cette nuit où tout a basculé :
« Je n’ai pas réfléchi. Je n’ai pas douté. J’ai su. »
Cet éveil était bien plus qu’une expérience énergétique. C’était un point de non-retour. Une vérité si évidente qu’elle ne laissait plus de place aux doutes, aux hésitations, aux compromis.
Quand l’illusion s’effondre, il est impossible de la reconstruire. Pourtant, comprendre une vérité ne signifie pas toujours être prêt(e) à l’affronter pleinement.
Ce chapitre met en lumière un paradoxe essentiel :
🟣 Pourquoi, même face à l’évidence, restons-nous parfois encore figé(e)s ?
🟣 Qu’est-ce qui nous retient alors que nous savons que tout doit changer ?
🟣 Comment accepter de laisser partir ce qui ne nous appartient plus ?
Le prochain chapitre plonge au cœur de la bataille qui allait suivre.
Un divorce qui n’était pas qu’une signature sur un papier… mais une libération complète de toutes les chaînes qui m’avaient entravée jusque-là.
🔗 À suivre : Résilience – Chapitre 7 – Reprendre son pouvoir financier
Avec lumière et sagesse,
© Sandrine Lumière
Révélatrice d’identité et Auteure
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