J’ai rêvé de l’effondrement… et si ce n’était pas qu’un rêve ?
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Rêve du 22 avril 2025 – Message reçu en songe
Dans la nuit du 22 avril 2025, j’ai fait un rêve puissant, dense, presque prophétique.
Un rêve comme un murmure de l’invisible, comme une vision claire d’un monde qui se fissure de l’intérieur.
Je l’ai vécu comme on traverse un portail : en observatrice, en témoin lucide,
à la frontière entre l’ancien qui s’écroule et le nouveau qui cherche à naître.
Ce rêve ne m’appartient pas seulement…
Il parle de nous. Il parle de ce que beaucoup ressentent sans toujours pouvoir le dire.
Je vous partage ici « Le Chant de la Fin d’un Monde », un récit onirique né de cette nuit.
Qu’il résonne en vous comme il a résonné en moi.

Quand l’invisible parle à travers les symboles d’un monde qui vacille.
Il existait un bâtiment immense, isolé, à la lisière du visible.
Une usine d’un autre temps, construite pour durer,
armature de béton et de contrôle,
soutenue par des piliers invisibles :
les secrets, la peur, l’argent.
Autour, un vaste parking abandonné, terrain vague où plus rien ne pousse,
si ce n’est l’attente.
Nous étions plusieurs à y veiller, assis sur des chaises,
témoin·es silencieux·ses d’un monde en train de se fissurer.
Nous savions qu’un bus allait venir.
Pas n’importe lequel.
Celui qui porterait ceux qui savent, ceux qui sentent.
Mais d’autres véhicules sont arrivés avant,
faussant la fréquence, risquant de tout faire capoter.
Nous avons tenu bon.
Et finalement, le bon bus est arrivé.
Ils sont entrés. Nous les avons suivis.
Dans les entrailles du monstre, il y avait des tables, des documents,
des regards fuyants.
Une femme, plus toute jeune, tentait de justifier l’injustifiable.
Les chiffres qu’elle égrenait sonnaient creux.
Comme les piliers de ce monde.
Je me trouvais assise sous une grande plaque de métal.
Un conduit, ancien, rouillé, résonnait de grondements.
À chaque mensonge, à chaque réponse tordue,
le métal vibrait plus fort.
Quelque chose allait céder.
J’ai senti. J’ai écouté. J’ai bougé.
Et le métal s’est effondré là où j’étais.
Juste après.
Les morceaux sont tombés, un à un,
comme les masques d’un système en fin de souffle.
Le bâtiment commençait à se disloquer.
Les murs pleuraient. Le sol tremblait.
Nous avons fui, ceux qui refusaient de rester complices.
Sur la route, le paysage se brisait lui aussi.
Un tsunami s’élevait. Une vague immense, irréversible.
Pas de feu, pas de guerre.
De l’eau.
L’eau qui purifie. L’eau qui emporte.
Des arbres tombaient, comme des soldats d’un vieux royaume.
Des sapins, gardiens de traditions mortes.
Et moi, au fond de mon cœur, je savais.
Ce n’était pas la fin du monde. C’était la fin d’un mensonge.
Avec lumière et sagesse,
© Sandrine Lumière
Révélatrice d’identité et Auteure
Plongez dans mon univers littéraire : Mes Livres
Tous droits réservés.
Ce que je viens de lire de ton rêve, sache qu’il raisonne/résonne en moi ;
Personnellement, je crois en un Monde Meilleur, ceci dit cela ne se ferait guère sans horte (comme c’est malheureusement le cas à chaque fois) ;
Je me dis même que, en parallèle de ton rêve, c’est une situation qui a déjà été vécu dans un temps jadis (je pense à l’Atlantide) ceci dit il ne serait point intelligent de répéter les mêmes erreurs …
L’Eau Purificatrice est là pour ce qu’Elle Est, une Bénédiction en soit afin de laver, remettre au propre ceux/celles qui sont dignes de La recevoir ✨️ ✨️ ✨️
Oui c’est clair.
En plus, j’ai visionné une vidéo d’un pasteur qui était avec un jeune prophète de l’Afrique par là… D’ailleurs, là où il vit ce jeune, il y a la guerre…
Et il parlait de ce qu’il avait reçu en Décembre, où il parlait de la mort du Pape et de ce qu’il a reçu pour la suite.
Mon rêve est similaire à ses prophéties.